ECOLE DE FORMATION CONTINUE EN RELATIONS HUMAINES SAINES (EFC - RHS)

Au Burkina Faso, incertitudes sur la fin du coup d’Etat Le coup d’Etat perpétré au Burkina Faso n’a pas encore vécu mais trois jours après la prise du pouvoir par les soldats du régiment de sécurité présidentielle (RSP), une sortie de crise semblait se dessiner samedi soir. Après deux jours de négociations à Ouagadougou, les présidents sénégalais et béninois semblaient avoir arraché aux putschistes de l’ancienne garde prétorienne de Blaise Compaoré un retour en fonction des institutions de transition. Avant de quitter le pays, le médiateur et président béninois Thomas Boni Yayi a promis « une bonne nouvelle au monde entier » pour ce dimanche. Aujourd’hui, pourtant, des violences ont éclaté soudainement dans le hall de l’hôtel où avaient lieu les négociations. Une centaine de sympathisants du général Diendéré sont venus faire pression sur les médiateurs, pénétrant dans l’établissement où ils ont saccagé le mobilier, avant de quitter les lieux. L’ambassadeur de France à Ouagadougou, G

La mauvaise nouvelle est tombée ce matin. Laurentine Milebo est décédée ce matin. Les causes de la mort n’ont pas encore été révélées. Retour sur le parcours de la tantine du cinéma français. On l’a découvert dans Black Mic Mac 2, et dans Fatou la Malienne. Mais Laurentine Milebo ne sait pas contenter que de cela. Elle, qui jouait souvent les rôles de la maman ou de la tante, est décédée ce matin pour des raisons encore inconnues. Dernièrement, elle jouait la mère du comédien Noom dans Amour sur place ou à emporter. On l’a aussi vu dans Case Départ aux côtes de Thomas N’gijol et Fabrice Eboué.

             

Le Président Barack OBAMA prononçant son mot de bienvenu au journaliste William James ETUTU, à la Maison Blanche, à Washington, le 1 juin 2015. Ce lundi 01 juin 2015, Barack OBAMA, le président américain, recevait en entretien à la Maison Blanche, le journaliste et activiste écologiste congolais, Monsieur William James ETUTU, dont le rapport sur la déforestation de la forêt équatoriale du Congo (son pays d’origine) a une fois de plus rappelé l’urgence de mettre fin, à ce qu’il appelle, le génocide écologique. Un génocide écologique qu’est en train de commettre les multinationales au Congo, parfois en complicité avec le régime en place. Pour le journaliste congolais qui tient à aller plaider la cause de son pays partout où il est nécessaire, la conférence sur le climat de Paris qui se tiendra dans six mois, jour pour jour, doit être une occasion pour tous de jeter un coup de projecteur sur toutes ces multinationales qui, dans l’obscurité de l’épaisse forêt équatoriale du Congo, l